• Peu importe la direction où je vais
    Le vent me porte en toute aisance
    Me dirige
    Depuis l'enfance vers cet acte de conscience
    Cinq sens !

    Oui !
    J'ai entendu ce qu'il m'ont dit
    J'ai rit !
    Ne fais cela, ne fais pas ceci
    (...) J'ai entendu tous ces peignes-culs
    Les mêmes qui
    Te regardent dans la rue
    Vu leur vie virulente de mépris
    J'ai compris l'importance de l'ouïe, oui !
    En entendant ces gens j'ai compris
    La connerie des incompétents de la vie
    J'attends maintenant le changement

    Vu l'émission de vos télévisions
    Qui d'un vent violent tue les valeurs de vos nations
    Vu !
    Vu que personne ne fait rien
    Vu que j'les vois moi, en vivant vainement
    La vie virtuelle à laquelle je tend
    Vu !
    Les visionnaires à deux francs
    Qui tuent tout ce qui peut avoir l'air de vivant
    Vanité et valeur ou sentiments
    Vont guider ces vipères à piquer
    Leurs enfants qui veulent goûter...

    L'épanouissement de plus près
    Le goût de la vie qui dit qu'un enfant joue
    Et ne doit pas travailler
    Dégoûter de voir les droits d'l'enfant
    Baffoués par tous ces PDG
    Qui s'ils le pouvait f'rait bosser les nouveaux-nés

    Touché !
    Pour toucher de près voire de plein fouet
    Ce système que je hais
    Je sais que mes mains et c'que j'en fais feront
    Fléchir les fous furieux et vieux !
    Fini les fainéants
    Qui freinent nos élans
    En affamant le peuple et ses enfants !
    Nous allons les fumer
    Avec nos phrasés, pour mieux les toucher
    Mais pas de sang ! Pas de sang !

    Sens ! (...)
    Mille langages pour quatres couleurs
    Jaune blanc black beur,
    L'unité est dans nos cœurs
    Et meurt, le pourri de dictateur
    Qui donne une sale image aux paroles des sages
    La rage en nous se contrôle
    Elle traversera la terre par les deux pôles
    Et pour ça on pense...
    Avec nos cinq sens


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  • Condamné par la naissance des bas quartiers
    Je pense que j'ai mon mot à dire
    Qui à vécu pire enfance que ceux
    Qui n'ont pas eu la chance de pouvoir grandir
    Un gros porc baisse son froc
    Dans un tripot de Bangkok
    Et c'est un enfant de cinq ans
    Qui lui prend son argent
    C'est à grosse dose de coke
    Qu'il supporte ce troc
    C'est à grosse dose de coke
    Qu'il supporte ce troc
    Et moi, je pense à tous les autres qui tapinent au même moment
    Le monde est avarié
    Je suis une petite Indie
    Un genre de Phoolan Devi
    Qui n'a pas de fusil... de fusil
    Mariée à douze ans à un pauvre paysan
    Je bosse dans les champs... harassant
    Ils ont dit " tu n'es plus une enfant,
    tu es une femme à présent "
    Le monde est avarié
    Condamné par la naissance des bas quartiers
    Je pense que j'ai mon mot à dire
    Qui à vécu pire enfance que ceux
    Qui n'ont pas eu la chance de pouvoir grandir
    Des milliers d'enfants au Pakistan
    Dans des fabriques de ciment
    Des petites filles voilées de la tête aux pieds en Afghanistan
    Et les enfants de Bogota à qui on arrache les cornées
    Le monde est avarié
    Condamné par la naissance d'un hôpital de France
    J'ai jamais rien à dire
    Je n'ai pas conscience de la chance
    Que j'ai de savoir lire et écrire
    J'applaudis les lois contre l'immigration
    Je vote pour les rois qui protègent mon pognon
    Mes enfants hériteront de ma connerie et la transmettront
    A leurs rejetons
    Et le monde reste... et le monde reste avarié
    Moi je danse sur le monde...
    (Tryo)

    Envie de vomir sur Babylone...


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  • (...) Et oui ! Babylone déconne ! 
    Il entretient la connerie des hommes 
    (...)Nous ne retournerons pas nos vestes 
    On ne mangera pas vos restes 
    Nous sommes nombreux vaccinés contre votre peste (...)
    Notre mouvement étendra ses tentacules
    Jusqu'à ce que Babylon bascule
    La lutte est neuve
    Elle saura faire ses preuves
    Si de ces mots tout le monde s'abreuve
    Eh ! Mes frères, nous somme la lumière
    L'heure de la révolte a sonnée

    (Tryo)


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  • "L'argent coule à flot
    Les architectes construisent du beau
    Babylone
    Trois, quatre clodos
    Moyenne par station de métro
    C'est trop dans Babylone
    La violence anormale
    Te pousse à ne plus sortir
    Entre les flics leurs armes
    Ceux qui frappent pour se divertir
    Tire-lui une balle
    Ce mec là t'a fait souffrir
    Ta vengeance est normale
    L'Etat ne peut pas l'accomplir"

    Tryo


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